22 Jan Julian Brun, NGeneer, nous parle de son expérience !
Actuellement Ingénieur Essais chez Fresenius, Julian Brun a rejoint NGen en Décembre 2018. Il revient aujourd’hui sur son parcours et son expérience en tant que consultant NGen.
Salut Julian, peux-tu te présenter ainsi que le début de ton parcours s’il te plaît ?
« Je m’appelle Julian Brun, j’ai 27 ans… je crois (rires) et je suis chez NGen depuis 2 ans maintenant. J’ai un parcours d’Ingénieur mécanique. Après un Bac S option sciences de l’ingénieur, je me suis orienté vers un BTS puis j’ai obtenu un diplôme d’Ingénieur en Génie Mécanique. A la fin de mon cursus je me suis spécialisé en éco-conception afin d’intégrer l’aspect environnemental à mon travail. Malheureusement dans mon cas, il n’y a pas de débouchés qui correspondent à ce profil dans la Région Auvergne-Rhône-Alpes. Je me sentais un peu seul au monde (rires). »
Quand as-tu rencontré NGen ?
« J’ai rencontré NGen en Novembre 2018. A ce moment-là, j’étais en recherche active et Pauline (HR manager) m’a contacté pour en savoir plus sur mes aspirations professionnelles. J’ai ensuite eu l’opportunité de rencontrer Jonathan et Florian (Co-fondateurs), qui m’ont proposé ma première mission au sein d’NGen. J’ai signé quelques jours plus tard en tant qu’Ingénieur essai pour les véhicules test. Le contact avec Jonathan, Florian et Pauline a été top. On a vraiment établi une relation de confiance tous ensemble.
2 ans plus tard, je continue ma carrière avec NGen en tant que Chef de projet tests, avec des phases de tests, des plannings et une équipe à gérer. J’ai monté un processus de mise en place de tests et de procédures donc il y avait beaucoup de choses à reprendre. C’est très intéressant de construire des choses. »
Qu’est ce qui te plaît le plus dans ce que tu fais et dans le métier de consultant ?
« Ce qui me plaît le plus dans ce que je fais est la polyvalence car c’est quelque chose que j’ai toujours apprécié. J’aime entrer dans le détail mais je n’aime pas devenir expert. J’aime toucher à tout et pouvoir switcher de sujet un peu tout le temps. En test je peux faire ça : aborder des sujets techniques sur tout un tas de domaines différents et c’est ce que j’adore. Je ne retrouve ça nulle part ailleurs.
Pour le métier de consultant, c’est pareil : tu peux changer, avoir une polyvalence, une dynamique et une grosse flexibilité au niveau du travail si le marché de l’emploi le permet. Le seul hic c’est qu’on n’est pas énormément formé au consulting en école. »
Qu’est ce qui fait selon toi la force d’NGen aujourd’hui ?
« Chez NGen, Jonathan m’accompagne depuis mon arrivée, il y a deux ans, et il a toujours cerné ce que je voulais faire et ne pas faire. La première fois que je suis allé dans les bureaux, ils n’étaient que 3. J’ai dû leur faire confiance et faire le pari que ça fonctionnerait. Je ne regrette pas. C’était l’occasion aussi de participer au développement d’NGen. Il y a une vraie relation d’entraide entre managers et consultants, la hiérarchie s’efface un peu et donc la relation que tu construis est beaucoup plus saine et stable.
Aujourd’hui, même si le contact est un peu amoindri avec le contexte, je suis toujours très content d’être parmi eux et de les aider à prospérer. Je suis assidument l’arrivée de nouveaux, ça m’intéresse beaucoup. Je suis content de les voir prospérer malgré le contexte.
Et j’ai atteint mon 2ème anniversaire avec NGen il y a moins d’une semaine ! »
Et enfin, que penses-tu de nos dernières actualités com et que nous conseilles-tu pour 2021 ?
« J’aime beaucoup, je suis toujours content de recevoir des mails d’information pour voir ce qui se passe. Ça me permet de conserver un lien avec NGen, malgré la période compliquée. Et sur les réseaux sociaux, j’aime voir qu’NGen gagne en visibilité. Pour 2021, j’aimerais bien voir plus d’actualités liées à l’ingénierie technique. Ça peut être intéressant de pousser un peu l’aspect technique en sourçant et donnant des chiffres clés, pour parler le langage des ingénieurs. Et au-delà de ça, c’est top d’avoir ce genre d’interview. »